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USOIL Contact Support Monthly

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TVC:USOIL   WTI 原油差價合約
Nous avons atteint et été rejeté par le support en monthly. Je privilégie donc une hausse des prix sur le long terme à partir de ce niveau.
Si on casse ce support, alors la prochaine étape sera pour moi les 10$ mais je n'y crois pas trop.

Bon trade !
評論:
Bonjour à tous,
Notre analyse est fausse sur le graphique ci-dessus. Cependant, nous nous présentons face à un problème. En effet, il existe en ce moment 2 contrats WTI avec des échéances différentes, un qui a pour échéance mai, mais qui expire demain, mardi 21 avril (échéance le mois après l'expiration), et l'autre qui a pour échéance juin.

Le premier, celui expirant demain vient de subir une incroyable chute (actuellement au moment où j'écris à 8.82$/baril et qui risque d'atteindre les 5$/baril). Il s'agit du graphique ci-dessous proposé par TradingView.

Quant au deuxième, celui ayant pour échéance juin (celui que mon broker me propose), les prix ont subi un incroyable gap haussier pour se positionner actuellement à 22.75$/baril.

Le choix nous revient donc pas et les brokers CFD choisissent eux-même quel contrat choisir pour faire le plus de marge sans que nous puissions choisir. Ainsi, l'unique manière de faire pour avoir accès au choix du contrat à échéance, est de passer sur les contrats futurs et non les CFD qui de plus subissent des modifications par les brokers pour les avantager.

Cependant, cette fragilité flagrante du contrat à terme du WTI de mai, nous montre une certaine instabilité du pétrole brut qui pourrait tout à fait avoir des répercussions sur le contrat à terme de juin, pour finir par le fragiliser aussi à son tour. On pourrait donc voir les prix du contrat de juin passer de dessus des 20$/baril à un prix similaire au contrat de mai à moins de 10$/baril.
Afin d'éviter un plongeon de pétrole Brute de juin, 2 possibilités sont attendues :

1) Baisse considérable de la production de pétrole (plus que la baisse déjà faite), afin de créer une différence non négligeable entre la demande en baril et la quantité stockée (à savoir qu'il y a déjà une grande quantité de baril de pétrole déjà stockée et en attente, il faut donc réduire d'autant plus la quantité produite car les stocks sont à prendre en compte dans l'offre). Cette diminution de la production de pétrole pourrait même aller à l'arrêt total de production afin de relancer l'économie du pétrole mondial. Cependant, ce scénario semble compliqué.

2) Si nous ne parvenons pas à réduire l'offre de pétrole, alors il faut nécessairement augmenter la demande car seul le rapport des deux indique le prix du baril. Cependant, à cause de la crise sanitaire majeure que nous traversons, et une économie monde au ralenti voire presque à l'arrêt, la demande en pétrole est au minimum. Une augmentation de la demande verra le jour lorsque les industries lourdes et du transport reprendront leurs activités et lorsque le confinement sera terminé. Cependant, une certaine inertie pourrait réduire la vitesse d'augmentation du prix du baril de pétrole, car les activités industrielles reprendront leurs produtions par paliers.

Pour quantifier tout cela, on a actuellement un accord de réduction de la production de pétrole brut de l'OPEP+ qui est de 9.7 millions de bpj (baril par jour), avec en face, une demande mondiale de ce dernier en chute de plus de 30 millions de bpj (30% de moins que la consommation mondiale normale de pétrole). Il reste donc beaucoup d'efforts à fournir afin d'égaliser ce rapport de forces voire de l'inverser.

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